Avant d'envisager le remontage des lames pour remonter les feutres, j'ai décidé de changer les peaux de lames. La plupart des peaux sont effectivement très marquées par les cuillères et la barre de forté (certaines peaux sont même sectionnées).
Marc Manceaux m'a fait parvenir des fournitures et notamment plusieurs longueurs de peaux. Seule petite difficulté, elle est plus épaisse que celle d'origine (1.9 mm contre 1.2 mm)
Cette différence nécessitera un réglage spéciale des cuillères. Cela fera l'objet d'une autre publication.
Je décolle la peau à la "patte mouille" imbibée d'eau chaude pour ramollir la colle d'origine.
Je me sers d'un "scalpel" (magasin de matériel médical) afin de décoller délicatement les peaux du bois mais en faisant attention à ne pas attaquer le bois non plus !
Je fais bien attention à ne pas imbiber le feutre noir sous la peau, ce feutre est également collée à la lame d'étouffoir. La peau n'est collée qu'aux extrémités.
Je racle bien les restes de colles avant le nouvel encollage.
J'ai découpé les nouvelles longueurs de peau à la bonne dimension.
Avant d'envisager le remplacement des peaux, j'ai préparé de la colle chaude. Marc Manceaux en vend au détail (mélange os et nerfs si je me souviens bien pour une certaine élasticité ! )
Pour cela, se munir d'un chauffe biberon et d'un récipient approprié (ici un verre en plastique usager et robuste)
Faire tremper les perles de colle facilitera l'opération. Mélanger deux cuillères à café dans 5 cl d'eau (à vue de nez pour mon mélange) et faire chauffer en remuant. Le mélange obtenu est liquide mais assez épais. Une fois le mélange à bonne température, faire attention à ne mettre que très peu de colle sinon, à l'application et au serrage, la colle déborde et une goutte de colle se forme en périphérie. Selon moi, il ne faut pas essuyer mais attendre que la colle soit sèche pour couper les débordement.
J'ai collé d'abord la partie basse de la lame afin de pouvoir étirer la peau vers le haut de lame.
Puis la partie haute en ramenant la peau vers le haut. Le surplus de colle n'est pas très orthodoxe ! Le manque de pratique rend le geste approximatif. J'ai pris le parti de laisser la colle sécher. Je couperais les gouttes au Cutter.
Marc Manceaux m'a fait parvenir des fournitures et notamment plusieurs longueurs de peaux. Seule petite difficulté, elle est plus épaisse que celle d'origine (1.9 mm contre 1.2 mm)
Cette différence nécessitera un réglage spéciale des cuillères. Cela fera l'objet d'une autre publication.
Je décolle la peau à la "patte mouille" imbibée d'eau chaude pour ramollir la colle d'origine.
Je me sers d'un "scalpel" (magasin de matériel médical) afin de décoller délicatement les peaux du bois mais en faisant attention à ne pas attaquer le bois non plus !
Je fais bien attention à ne pas imbiber le feutre noir sous la peau, ce feutre est également collée à la lame d'étouffoir. La peau n'est collée qu'aux extrémités.
Je racle bien les restes de colles avant le nouvel encollage.
J'ai découpé les nouvelles longueurs de peau à la bonne dimension.
Avant d'envisager le remplacement des peaux, j'ai préparé de la colle chaude. Marc Manceaux en vend au détail (mélange os et nerfs si je me souviens bien pour une certaine élasticité ! )
Pour cela, se munir d'un chauffe biberon et d'un récipient approprié (ici un verre en plastique usager et robuste)
Faire tremper les perles de colle facilitera l'opération. Mélanger deux cuillères à café dans 5 cl d'eau (à vue de nez pour mon mélange) et faire chauffer en remuant. Le mélange obtenu est liquide mais assez épais. Une fois le mélange à bonne température, faire attention à ne mettre que très peu de colle sinon, à l'application et au serrage, la colle déborde et une goutte de colle se forme en périphérie. Selon moi, il ne faut pas essuyer mais attendre que la colle soit sèche pour couper les débordement.
J'ai collé d'abord la partie basse de la lame afin de pouvoir étirer la peau vers le haut de lame.
Puis la partie haute en ramenant la peau vers le haut. Le surplus de colle n'est pas très orthodoxe ! Le manque de pratique rend le geste approximatif. J'ai pris le parti de laisser la colle sécher. Je couperais les gouttes au Cutter.
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